Histoires de sexe

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Pissé par un groupe de rebeux
Histoire gay publiée le 29/03/2013
Un bo rebeu dans sa VW, musique a fond, passe devant chez moi, se faufilant dans les rues, vacant a son occupation... Il s'arret ? ma hauteur et me demande si je veux entrer dans sa caisse. La porti're s'ouvre, mon coeur s'emballe, j'entre... D'une main ferme et dure, il me fout une taloche, et m'ouvre la bouche avec deux doigts, avant d'y lacher un mollard bien gras.

Il prend ensuite mon cou et rudement me baisse la bouche jusqu'a son zob...Il commence alors ? rouler... O?? je ne sais pas, mais ?a m'est ?gal, ma seule obsession c'est d'avaler sa bite. Il s'arrete au pied d'un immeuble, et avant de me relever la tete, laisse ?chapper un filet de salive jusqu'a bouche, je l'avale direct, et n'en bande que d'avantage.

A sortir de sa caisse, j'appercois derriere l'immeuble trois autres lascards fumant, et je sens que ma bouche ne va pas tarder a gouter tous les fluides corporels de ses magrehbins en rut. Serrant d'une main de maitre mon cou, mon cavalier me guide fermement vers ses compaires, et d'un geste sec me met a genous devant eux.

"Ouvre ta bouche petasse!" Je m'ex'cute immediatement jouissant interieurement dans l'id'e de recevoir la raffale de mollards qu'ils s'appretent ? m'envoyer. Sous cette pluie ininterrompue de salive surgissent des skets, que ma langue s'empresse de lecher avec une avidit? de clebs sur un os.

Sous le poids de leurs mollets muscl's je bascule contre le mur derriere moi et fini sur le cul. L'un deux sort alors son engin et me demande : "T'as soif batard?" D'un signe de t'te bref, et voyant la lubricit? dans mes yeux de soumis, il'sempresse de m'offrir une rasade de pisse qui me remplit la bouche.

Je l'avale, et ouvrant de plus belle la bouche, reclame ? mon maitre pisseur toute la pisse qu'il peut me donner. Bien plus arrive, et les autres racailles commencent a deverser a leur tour sur tout mon corps leurs precieux liquide, que je tente en vain de ne pas perdre en y plonger mon visage, afin de tout avaler.

Apres s'?tre vid? les vessies dans ma bouche et sur mes fringues, et quelques rafales supplementaires de mollards, le plus proche de moi m'enfonce son zob profondement dans la bouche en me mettant une claque, de toute sa main sur mon visage.

Le petit cri que je pousse alors l'encourage, et il m'en sert deux autres un peu plus fort. Il me releve, jusqu'a me trouver a genou, toujours avec sa bite au fond de ma gorge, et je sens la pisse recommencer a couler. Elle me remplit directment, au fond. Je n'ai pas d'autre choix que d'avaler, si je ne veux pas m'essoufler.

Un autre lascard se place derriere moi et appuie sur mon dos afin de me cambrer. Ma resistence est si peu notable que l'excitation et la rudesse de leurs gestes s'en trouve gonfl'es. D'un geste brusque, ce dernier dechire mon jogging, et commence a me claquer les fesses. Je couine, toujours avec la bite de son pote dans ma bouche.

Celui ci c'de ensuite la place a son accolyte de droite, qui, avant de m'enfoncer son enorme bite circoncise, remplit de pisse une de ses skets fraichement retir'e. Il me la sert a avaler, comme un verre, et je me jette dessus. Il le fait remplir par le derniere comp're qui jusque la regarde, et celui ci le remplit a nouveau et l'accompagne de mollards bien profonds et bien gras.

J'avale sans broncher et, ? eux deux, r'petent cette action jusqu'a se vider completement la vessie. Pendant ce temps, le gadjo de derri're a eu le temps de retirer ces skets, et ses chaussettes, et il se met a pisser dessus .Les chaussettes, marrons d'usure et de crasse, s'imbibent du pr'cieux liquide, et apres un mollard bien gras sur mon anus, le gadjo m'enfonce avec le pouce les deux chaussettes tremp'es, je sens le jus de pisse d'gouliner le long de ma raie .Le mec enfonce son pouce et la chaussette, et je sens a l'interieur le chaud nectar . Le temps de les enlever, il les passe a celui qui s'occupait de ma bouche qui les enfonce aavec sa bite. Le m'lange des saveurs de leurs pisse et des chaussettes me ravit le palais, et je n'ai de cesse d'avaler goulument ce qui est propos?...